Un adulte britannique passe en moyenne cinq ans de sa vie à soigner une gueule de bois, révèle une nouvelle étude du Daily Mail. Et pour un Britannique sur deux, avoir la gueule de bois est un motif suffisant pour se faire porter pâle au travail.
Les Britanniques se remettent d'une soirée trop arrosée en moyenne 22,8 jours par an jusqu'à l'âge de 60 ans. Ainsi au cours de sa vie d'adulte, un Britannique souffre d'avoir trop bu 2000 jours en moyenne, soit 5 ans et un quart d'année, selon une étude publiée dans le Daily Mail et réalisée auprès de 2 000 personnes. Ils souffrent des effets nocifs pour une journée entière durant le weekend, habituellement un dimanche, au moins une fois par semaine entre 21 et 38 ans.
Ainsi, une personne sur dix affirme avoir régulièrement la tête dans les choux dès le lundi. Des abus dont les effets se font sentir: 80% des personnes sondées déplorent souffrir de tremblements, 70% de fatigue et 40% d'un sentiment de manque le lendemain. Et une personne sur cinq déclare transpirer ou ressentir des étourdissements. L'alcool a également une influence au travail puisqu'un tiers des 2 000 personnes interrogées se sont déjà fait prendre par leur patron en piteux état et une sur dix s'est même fait renvoyer pour ce motif.
Un problème social
"La frontière entre boire un verre pour s'amuser et s'enivrer à tel point de souffrir d'une gueule de bois le lendemain est très fine", commente le professeur Gill Hart de la société YorkTest, qui publie ces chiffres. "De nombreux Britanniques se rendent au travail avec un mal de crâne et donc font le minimum." Le professeur Tony Jewell, un autre expert anglais de la santé , tire lui la sonnette d'alarme sur le mélange d'alcool avec des boissons énergétiques
0 commentaires:
Enregistrer un commentaire